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Fronde des policiers : quand François Mitterrand limogeait le directeur général de la police en 1983
En juin 1983, près de 2000 policiers se répandent dans Paris pour demander la démission du ministre de la Justice Robert Badinter. La réponse du président de la République ne se fait pas attendre.
POLITIQUE - C’est une situation qui en rappelle une autre, mais le dénouement est bien différent. La mise en détention provisoire d’un policier marseillais soupçonné de violences policières suscite une levée de boucliers d’une partie des policiers, soutenus par leur chef, Frédéric Veaux. Pour le directeur général de la police nationale, un policier n’a « pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des erreurs graves ».
Face à cette déclaration provocatrice et polémique, l’exécutif répond « nul n’est au-dessus des lois »… mais la réaction s’arrête là. Confronté à une fronde des policiers s’attaquant à l’institution judiciaire, le président de la République François Mitterrand, choisit, lui, la sévérité, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.
Le 3 juin 1983, dans la cour d’honneur de la préfecture de police de Paris, près de 1500 policiers sont venus rendre hommage à deux de leurs collègues, Émile Gondry et Claude Caiola tués par des cambrioleurs, membres du groupuscule d’extrême gauche Action directe, avenue Trudaine, quelques jours plus tôt.
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#police #mitterrand #fronde
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Cette ancienne de Microsoft et Apple a été nommée à un poste lié à la régulation des géants américains de la tech. Une fois n’est pas coutume, les eurodéputés français parlent d’une même voix pour s’y opposer.
POLITIQUE - Yannick Jadot est « scandalisé », Jordan Bardella somme Ursula von der Leyen de venir se justifier. Une fois n’est pas coutume, les deux eurodéputés sont d’accord entre eux et aussi avec leurs collègues de centre gauche, de droite, insoumis et macronistes. L’objet de cette indignation commune : la nomination de l’Américaine Fiona Scott Morton, à un poste clé de la Commission européenne lié à la régulation des géants américains de la tech.
Fiona Scott Morton, professeur d’économie à l’université de Yale, a été choisie comme nouvelle économiste en chef à la Direction générale de la concurrence. Ce service est chargé de veiller au bon fonctionnement de la concurrence dans l’UE et d’enquêter notamment sur les abus des géants du numérique qui ont donné lieu à des amendes records ces dernières années. Problème pour les représentants français : Fiona Scott Morton, ancienne de l’administration Obama, a aussi travaillé auparavant comme consultante chez Apple et Microsoft.
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#unioneuropéenne #gafam #concurrence
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Chacun à le droit à sa liberté d’expression, y compris les ministres, mais cela n’engage qu’eux. Lors du Conseil des ministres, Emmanuel Macron a abordé la récente sortie de Pap Ndiaye sur CNews, qualifiée de chaîne « d’extrême droite », au grand dam d’un certains. Le pésident de la République a soutenu le ministre, objet d’attaques virulentes depuis, tout en refusant de prendre position dans le débat.
En préambule du Conseil des ministre, le pésident de la République « a eu l’occasion de rappeler plusieurs libertés », a rapporté Olivier Véran à l’issue de la réunion : celle « de la presse, de la diversité d’opinion, mais aussi la liberté d’expression qui s’applique aussi pour les membres du gouvenement ».
« Quand on fait de la politique, on peut être amené à exprimer une opinion. On le fait avec parcimonie, avec attention, mais on est totalement libre de le faire. Le président a aussi rappelé que rien ne justifie de s’attaquer à un ministre, parfois même à sa famille », a poursuivi le porte-parole du gouvenement.
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#cnews #ndiaye #liberté
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Emmanuel Macron a promis mercredi d'agir "avec la plus grande détermination" en cas de "débordements" lors des festivités du 14 juillet, insistant, après plusieurs jours d'émeutes en France fin juin, sur le fait que "l'ordre républicain" devait être "respecté partout".
"Le calme est une condition à tout et le respect de l'ordre républicain, que j'avais d'ailleurs réaffirmé très clairement il y a une centaine de jours, doit être respecté partout. C'est pourquoi s'il y avait quelque débordement, nous interviendrons avec la plus grande détermination pour que l'ensemble de nos concitoyens puisse vivre dans le calme", a répondu le chef de l’État lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet de l'Otan à Vilnius.
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#14juillet #macron #emeutes
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Gérald Darmanin et Sandrine Rousseau se sont opposés dans l’hémicycle à coups d’énumération. Gérald Darmanin a été interrogé lors des questions au gouvernement de ce 11 juillet sur la présence d’élus de la Nupes à la marche parisienne pour Adama Traoré interdite par la préfecture.
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Pap Ndiaye ne retire pas un mot de ses propos sur CNews et Europe 1. Lors des questions au gouvernement ce mardi 11 juillet, le ministre de l’Éducation nationale a assumé ses déclarations sur ces deux médias propriétés de Vincent Bolloré en dépit de la bronca de la droite, l’extrême droite et des rédactions visées.
Dimanche sur Radio J, alors que les critiques de la mainmise de Vincent Bolloré sur les médias qui lui appartiennent s’intensifient, Pap Ndiaye a estimé que « quand vous regardez CNews, quand vous regardez ce qu’est devenue Europe 1, (...) la conclusion s’impose : oui, CNews c’est très clairement d’extrême droite ».
Tollé à la droite de l’échiquier politique, déjà vent debout contre le ministre depuis son entrée au gouvernement. Dans l’hémicycle, le député LR Philippe Gosselin a ainsi opposé la discrétion de Pap Ndiaye et son manque d’incarnation politique sur les sujets de son ministère et cette sortie
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Auditionné sur la gestion des émeutes qui ont suivi la mort de Nahel, le ministre de l'Intérieur a été interrogé sur la formation dans la police et la gendarmerie.
POLICE - Les policiers ont été heurtés. Quelques jours après son audition au Sénat, le 5 juillet dernier, sur la gestion par les forces de l’ordre des violences qui ont suivi la mort de Nahel, le jeune homme tué par un policier à Nanterre, Gérald Darmanin se retrouve sous le feu des critiques. En cause : des propos sur la formation au sein de la police et de la gendarmerie que les intéressés ont du mal à digérer.
Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article, au cours de cette fameuse audition, le ministre de l’Intérieur a notamment été interrogé sur la formation des policiers. La sénatrice socialiste Marie-Pierre de la Gontrie, a évoqué à cet égard la tenue de seulement trois tirs d’entraînement annuels, une fois que les fonctionnaires ont été formés en école de police. Ce à quoi Gérald Darmanin a répondu en évoquant le bagage universitaire des candidats.
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#police #darmanin #polémique
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La commission d’enquête du Sénat estime que « le manque de rigueur, l’opacité et la désinvolture » des acteurs du dossier ont conduit au « fiasco
POLITIQUE - Les mots sont rudes. Les sénateurs Claude Raynal (PS) et Jean−François Husson (LR) ont présenté ce jeudi 6 juillet le rapport de la commission d’enquête sur l’utilisation du fonds Marianne, une enveloppe de 2,5 millions d’euros débloquée par Marlène Schiappa en avril 2021, après la mort de Samuel Paty pour lutter contre les discours radicaux.
Résultat : « un fiasco », selon les mots employés par les parlementaires en conférence de presse et dans leur rapport d’une grosse centaine de pages. « Le manque de rigueur, l’opacité et la désinvolture à toutes les étapes de ce projet ont conduit au fiasco », a notamment cinglé le rapporteur Jean−François Husson en présentant son « constat sans appel sur la dérive de ce que nous appelons “un coup politique” ».
« Nous avons le sentiment que le fonds Marianne a été conçu comme une grande opération de communication » par la ministre, a encore résumé le sénateur, sans épargner le rôle de Marlène Schiappa, alors ministre déléguée à la Citoyenneté, ses « confusions » et son manque de rigueur.
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#fondsmarianne #schiappa #samuelpaty
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POLITIQUE - Une attaque qui a manifestement touché sa cible. Les branches « jeunesse » des partis de la NUPES se sont réunies ce dimanche 25 juin à Alfortville en vue des élections européennes. L’occasion pour ces jeunes militants acquis à l’union de la gauche de faire pression sur leurs appareils respectifs pour partir sous une même bannière en 2024, ce qui est à ce stade fortement improbable.
À la tribune, Emma Rafowicz, présidente des Jeunes socialistes, en a profité pour s’en prendre à ceux qui, dans le sillage de Bernard Cazeneuve, occupent une bonne partie de leurs interventions médiatiques à flinguer la NUPES. « Ce qui n’est pas sérieux, c’est de laisser des éléphants responsables de notre chute décider de notre avenir. Restez dans vos salles sombres, dans vos chuchotements, nous ne voulons plus entendre. Vous nous avez fait perdre, laissez-nous gagner », a déclaré l’élue parisienne, en évoquant Créteil, où Bernard Cazeneuve a officialisé son retour en politique début juin.
Une chasse aux éléphants sur fond d’inventaire du hollandisme qui a immédiatement fait bondir les concernés, qui ont perçu dans cette sortie au bazooka un « manque de respect » à l’égard des anciens du PS. « Il faut des gens qui ont de l’expérience et un peu adulte, plutôt que d’avoir des jeunes qui n’ont pas beaucoup de respect. C’est un vrai problème dans la société et au sein de la gauche », a répliqué ce lundi 26 juin le maire du Mans Stéphane Le Foll, cinglant contre les « gestes adolescents » de la porte-parole du PS.
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#partisocialiste #nupes #gauche
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L'essayiste Mohamed Sifaoui, coresponsable de la principale association bénéficiaire du fonds Marianne de lutte contre le « séparatisme » créé après l’assassinat de Samuel Paty, a été auditionné ce jeudi 15 juin par la commission d’enquête du Sénat. Mais les échanges ont rapidement tourné au vinaigre.
Mohamed Sifaoui a notamment été interrogé sur la subvention de 355 000 euros perçue par son association, l’Union des sociétés d’éducation physique et de préparation militaire (USEPPM), faisant d’elle la principale bénéficiaire du fonds Marianne. Il a démenti devant les sénateurs avoir participé aux discussions portant sur le montant de la somme. Une déclaration qui a amené le rapporteur de la commission Jean-François Husson à faire un parallèle avec l’audition de Marlène Schiappa la veille.
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La secrétaire d’État à l’économie sociale et solidaire Marlène Schiappa, qui était auditionnée ce mercredi 14 juin au Sénat dans l’affaire du Fonds Marianne s’est dite prête à « endosser toute sa responsabilité, mais aussi rien que sa responsabilité ». Un accent un peu trop mis sur la responsabilité d’autrui, au goût des sénateurs.
Pour rappel, après l’assassinat de Samuel Paty en 2021, le fonds Marianne (doté de 2,5 millions d’euros) avait été créé sous la houlette de Marlène Schiappa pour « promouvoir les valeurs de la République ».
D’emblée, Marlène Schiappa a, elle, donné un aperçu de sa ligne de défense : Si « le ministre impulse des politiques publiques et en est comptable », c’est « le rôle de l’administration de mettre en œuvre ces politiques publiques et (d’en assurer) le suivi. (...) Le ministre en cela s’appuie dans la confiance qu’il a dans les collaborateurs », souligne-t-elle. Sous entendu : elle n’est pas responsable des choix des bénéficiaires du Fonds Marianne et n’a rien à se reprocher dans l’information judiciaire pour soupçons de « détournement de fonds publics » ouverte par le PNF début mai.
Au fil de ses réponses, elle évoque successivement son ancien directeur de cabinet Sébastien Jallet, son cabinet au sens large et même « l’administration », davantage impliqués qu’elle dans la création, les attributions et l’utilisation de cet argent, selon ses dires.
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Les députés centristes ont mis fin à l’examen du texte, vidé de sa substance. La bataille des retraites a pris fin au Palais-Bourbon, marqué par le drame qui s’est déroulé à Annecy ce jeudi 8 juin.
POLITIQUE - C’est un feuilleton qui dure depuis plus d’un mois et qui s’achève ce jeudi 8 juin. Après une séance mouvementée à l’Assemblée nationale toute la matinée et marquée par le drame de l’attaque au couteau visant des enfants à Annecy, le groupe LIOT a décidé de retirer sa proposition de loi qui entendait abroger le recul de l’âge légal à 64 ans, adopté au Parlement et validé par le Conseil constitutionnel en avril.
Après une quatorzième journée de mobilisation en demi-teinte mardi, cette séance n’aura duré qu’une demi-journée. « En responsabilité nous avons décidé de retirer notre texte, car il ne reste que l’article 2 », a déclaré après une suspension de séance le président du groupe Liot Bertrand Pancher, en ayant eu un mot sur le drame qui s’est déroulé à Annecy ce jeudi matin où des enfants sont entre la vie et la mort. « Nous exprimons toute notre solidarité aux familles, à ces enfants », a-t-il déclaré.
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#retraites #abrogation #liot
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Les députés centristes ont mis fin à l’examen du texte, vidé de sa substance. La bataille des retraites a pris fin au Palais-Bourbon, marqué par le drame qui s’est déroulé à Annecy ce jeudi 8 juin.
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Après une quatorzième journée de mobilisation en demi-teinte mardi, cette séance n’aura duré qu’une demi-journée. « En responsabilité nous avons décidé de retirer notre texte, car il ne reste que l’article 2 », a déclaré après une suspension de séance le président du groupe Liot Bertrand Pancher, en ayant eu un mot sur le drame qui s’est déroulé à Annecy ce jeudi matin où des enfants sont entre la vie et la mort. « Nous exprimons toute notre solidarité aux familles, à ces enfants », a-t-il déclaré.
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#liot #retraites #abrogation
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POLITIQUE - Sur le gril. L’ancien directeur de cabinet de Marlène Schiappa n’a visiblement pas passé un très bon moment ce mercredi 7 juin. Au Sénat, Sébastien Jallet a été longuement questionné par les parlementaires de la Commission d’enquête sur le fonds Marianne sur son rôle, et celui de son ancienne patronne, dans l’attribution et l’utilisation controversée de ces deniers publics.
« Nous avons besoin de comprendre la matérialité, la réalité des faits, la chronologie. (...) Je vous sens un peu agacé et sur la défensive, il y a simplement une saine curiosité pour essayer d’avoir des faits les plus précis possibles », a ainsi expliqué Jean-François Husson, le rapporteur de la Commission. Et ce alors que l’ancien proche de Marlène Schiappa expliquait sa gêne à participer à l’exercice, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de l’article.
« Je vous ferai remarquer : on est sur des questions extrêmement précises, et, je l’entends, qui font l’objet d’une information judiciaire ouverte par le PNF. Vous m’auditionnez dans un cadre différent, avec des questions extrêmement précises, sur lesquelles je n’ai pas avec moi les éléments de documentation qui me seraient nécessaires », a d’ailleurs déploré l’intéresse. Avant d’ajouter : « Je n’ai pas non plus l’appui d’un avocat, et il me paraît délicat d’être dans cet exercice sans avoir des garanties minimales de défense et de protection. »
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#fondsmarianne #schiappa #sénat
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POLITIQUE - Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Ce mercredi 7 juin, la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a déclaré au micro de BFMTV qu’elle allait faire barrage à l’examen, dans l’hémicycle, de la mesure d’abrogation de la retraite à 64 ans.
« Sur ces amendements de rétablissement de l’article 1, je suis très claire : ils seront déclarés irrecevables par moi-même dans la journée », a affirmé Yaël Braun-Pivet. « J’applique la règle, rien que la règle », a-t-elle ajouté, une allusion à l’article 40 de la Constitution qui proscrit toute proposition parlementaire créant une charge pour les finances publiques.
Une communication dans les médias pourtant reprochée à Eric Coquerel, une semaine plus tôt seulement par la même Yaël Braun-Pivet, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article.
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#assembléenationale #liot #retraites
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Ce mercredi 7 juin, Yaël Braun Pivet a fait savoir sur BFMTV qu’elle allait déclarer irrecevable la PPL du groupe LIOT visant à abroger la réforme des retraites. Ce qui a immédiatement déclenché une avalanche de réactions indignées au sein des oppositions.
La présidente de l'Assemblée avait déjà provoqué la colère des oppositions en 2018 lorsqu'elle présidait la commission des Lois de l'Assemblée, chargée d'enquêter sur l'affaire Benalla.
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MANIFESTATION - Cela fait déjà cinq mois que les manifestants protestent contre la réforme des retraites. Ce mardi 6 juin marque la 14e journée de mobilisation. Plusieurs manifestations ont lieu dans toute la France et ceci deux jours avant l’examen au Parlement d’une proposition de loi visant à abroger la réforme. Cependant celle-ci a été vidée de sa substance et n’aura donc pas la portée espérée.
Cette journée de mobilisation, sera-t-elle la dernière ? Le HuffPost a posé la question aux manifestants.
Concernant la réforme des retraites, « le match est en train de se terminer », a délcaré Laurent Berger, secrétaire générale de la CFDT avant que le cortège parisien ne s’élance. Pour les manifestants, la colère va bien au-delà de la réforme des retraites. « On en a un peu marre de ne pas être écoutés et de souffrir alors qu’on pourrait vivre autrement », explique Carole directrice de crèche. Et l’actualité donne des raisons supplémentaires de s’indigner explique Hortense, éditrice : « Avec les histoires de fonds Marianne, etc. On a beaucoup de raisons d’être dans la rue en ce moment ». Et ce n’est que le début pour cette manifestante : « Malheureusement, Il reste encore quatre ans de Macron et ça va être tout aussi dur ».
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REPORTAGE - « Si vous êtes venue pour ça, ce n’est pas le moment… » Parler de la présidentielle 2027 et de sa possible candidature, ça l’agace. Ce samedi 27 mai, François Ruffin entame le deuxième jour de son « députour », un tour complet de sa circonscription d’Amiens à Abbeville, qu’il aime organiser chaque année.
« Ça n’est pas le moment »
Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article, le député de la Somme est là « pour parler avec les gens, et porter leur voix à l’Assemblée », alors les questions sur 2027, « ça n’est pas le moment ».
Pourtant, à quatre ans de l’échéance, tout porte à montrer que c’est bien le moment. Dans un tweet du 12 avril, c’est d’abord Jean-Luc Mélenchon qui a enclenché la machine en lançant sur Twitter quelques mots qui collent désormais à la peau du député LFI : « François est prêt. En avant ! ».
Quelques semaines plus tard, c’est François Ruffin lui-même qui remet une pièce. Dans une longue vidéo YouTube, le député de la Somme glisse un appel aux dons à ses soutiens, pour « changer de division », sans jamais explicitement évoquer une possible candidature.
D’abord dans la ville de Camon, à quelques kilomètres d’Amiens pour tenir une permanence en extérieur, puis à Longueau pour un barbecue festif, François Ruffin vogue de groupe en groupe, un cahier à la main, pour noter les doléances de chacun. D’une facture non remboursée, à une demande de papiers, en pensant par des pertes d’emplois, le député prend des notes, tente de rassurer et propose des solutions.
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#ruffin #presidentielle #gauche
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La PPL Liot contre la réforme des retraites finalement adoptée à l’Assemblée après une folle journée
POLITIQUE - Ils étaient contre, donc ils ont voté pour. La salle de la Commission des Affaires sociales où était étudiée la proposition de loi Liot pour abroger la réforme des retraites a été ce mercredi 31 mai le théâtre d’un retournement de situation dont seule l’Assemblée nationale a le secret. Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article, après une matinée houleuse, les députés Renaissance et leurs alliés ont fini par voter en faveur du texte honni... désormais sans risque pour la réforme du gouvernement. Cela mérite bien quelques explications.
Retour à 9h30. Les échanges commencent dans une salle pleine à craquer, au point que plusieurs élus doivent rester debout tandis que d’autres font mine de s’inquiéter du respect des conditions de sécurité. Les objectifs de chacun sont clairs : pour Renaissance et ses alliés, il s’agit de faire tomber l’article 1 de la PPL Liot, qui abroge le recul de l’âge de départ à la retraite à 64 ans ; les opposants au texte souhaitent eux l’inverse. « N’ayez pas peur du vote. Ne fuyez pas la représentation. L’Assemblée nationale doit (enfin) pouvoir voter sur les retraites », réclame l’écologiste Sandrine Rousseau.
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#retraites #liot #ppl
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La secrétaire générale de la CGT était la dernière des leaders syndicaux à s’entretenir avec la Première ministre ce 17 mai. Sophie Binet a expliqué avoir refusé la proposition d’Élisabeth Borne d’organiser une réunion multilatérale entre Emmanuel Macron et les organisations syndicales.
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