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3 Vues · 2 mois (mise à jour)

La haute fonctionnaire de 37 ans, non affiliée à un parti politique, a réussi à faire consensus à gauche pour être proposée comme Première ministre.

Une pour tous et tous pour une. Juste avant la première prise de parole présidentielle depuis les législatives, le Nouveau Front populaire (NFP) s’est accordé sur un nom, mardi 23 juillet, pour revendiquer Matignon : Lucie Castets. Il n’évoque pas grand-chose à ce stade ? Ce n’est pas un problème, répond le chef des socialistes Olivier Faure qui s’emploie, avec ses homologues de gauche, à en dresser le profil.

Lucie Castets, diplômée de l’ENA, est une haute fonctionnaire de 37 ans. Encartée au PS autour de 2008-2011, elle assure désormais n’avoir aucune affiliation partisane. « Jeune, compétente », elle « coche toutes les cases », s’est enthousiasmé le secrétaire national du PCF Fabien Roussel ce mercredi 24 juillet. Il évoque notamment son passage à Tracfin, la cellule française qui lutte contre le financement du terrorisme et le blanchiment, comme cheffe du département international.


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3 Vues · 3 mois (mise à jour)

Une dissolution, des législatives anticipées… et à la fin, Yaël Braun-Pivet au Perchoir, encore. L’élection de la présidence de l’Assemblée s’est achevée ce jeudi 18 juillet vers 20h30 par la réélection de la députée (Ensemble pour la République) des Yvelines. L’épilogue d’une journée qui a commencé dans le flou et se finit sans faire disparaître totalement le brouillard politique actuel.

14h au Palais Bourbon, personne ne se livre au moindre pronostic. L’ancien patron du groupe LR Olivier Marleix arbore ostensiblement un livre : La Grande Peur de juillet 1789 de l’historien Jean-Clément Martin. « Il y a dedans tous les éléments d’un moment d’instabilité », sourit-il. À l’ouverture de la séance à 15h, six candidats sont en lice : Yaël Braun-Pivet (Ensemble pour la République), Naïma Moutchou (Horizons), Philippe Juvin (La Droite Républicaine, ex-LR), Charles de Courson (Liot), André Chassaigne (NFP) et Sébastien Chenu (RN).

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4 Vues · 3 mois (mise à jour)

Les discussions communes entre le PS, LFI, les Écologistes et les communistes sont à l’arrêt après le rejet des candidatures d’Huguette Bello et de Laurence Tubiana.

Marine Tondelier est « en colère ». Dix jours après le second tour des législatives qui a placé le Nouveau Front Populaire en tête mais sans majorité à l’Assemblée, la gauche bute toujours sur le nom de son Premier ministre et les discussions sont au point mort. « Je suis écœurée (...) et désolée du spectacle qu’on donne aux Français et aux Françaises », déclare la secrétaire nationale des Écologistes ce mercredi 17 juillet.

« L’espoir s’est transformé en colère, notre joie s’est transformée en honte », a déclaré la cheffe des Écologistes, au cœur des négociations avec socialistes, insoumis et communistes. Des négociations qui, à l’en croire, sont à l’arrêt depuis plusieurs jours.

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3 Vues · 3 mois (mise à jour)

Le président de la République a fustigé le programme des « deux extrêmes », estimant qu’ils renvoient à des questions « d’appartenance religieuse ou communautaire ».

Un champ lexical qui ne passe pas. Dans un podcast diffusé lundi 24 juin Emmanuel Macron a estimé que les programmes des « deux extrêmes » mènent « à la guerre civile », fustigeant le Rassemblement national, La France insoumise « et ceux qui les suivent ». Des propos qui ont heurté l’ensemble des oppositions. Et même au-delà.
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4 Vues · 6 mois (mise à jour)

JO DE PARIS - À cinq mois jour pour jour de l’ouverture des Jeux olympiques de Paris, Le HuffPost s’attarde sur quelques-unes des promesses de son comité d’organisation (Cojo), mais aussi de la région Île-de-France, qui ont depuis bien évolué avec le temps, quand elles n’ont pas purement été abandonnées.

#sport #paris #france
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3 Vues · 6 mois (mise à jour)

Du dérapage à l’assurance chômage : le débat autour de la dette et du déficit public apparaît épineux pour l’exécutif.

Bruno Le Maire, et avec lui tout l’exécutif, est à nouveau sommé de s’expliquer sur le mauvais état des finances publiques et de trouver les moyens de renflouer les caisses après la confirmation par l’Insee du dérapage du déficit sur l’année 2023.

Un débat épineux pour le gouvernement, tant il fonde sa crédibilité sur des questions de sérieux et de compétences. Or, pour l’instant, la parade semble difficile à trouver. Gabriel Attal s’est certes exprimé au journal télévisé de TF1. Bruno Le Maire a reçu les oppositions à Bercy. Mais bien malin celui qui connaît la stratégie de l’exécutif pour redresser la barre.

Pire, certaines sorties ou propositions avancées pendant la séquence peuvent s’apparenter à des erreurs… Voire des fautes politiques.
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4 Vues · 8 mois (mise à jour)

La ministre de l’Éducation a dû répondre aux questions des députés sous les chahuts. Certains parlementaires ont même crié « François Bayrou » pressenti pour la remplacer dans le cadre de la seconde phase du remaniement.
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7 Vues · 8 mois (mise à jour)

AGRICULTEURS - « On croit en l’Europe, mais pas celle-ci. » Jeudi 1er février, des milliers de manifestants de différents pays - et plus d’un millier de tracteurs - ont envahi les rues de Bruxelles aux abords d’un sommet des Vingt-Sept, sur fond de colère du monde agricole partout sur le continent.

Devant les bâtiments bruxellois du Parlement européen sur la place du Luxembourg, dont l’accès était bloqué par des centaines de tracteurs, une foule dense s’est réunie, formée de manifestants belges, français, espagnols, italiens, portugais ou encore allemands.

Comme vous pouvez le voir dans notre reportage vidéo, Le HuffPost a suivi sur place cette mobilisation transnationale, à quelques centaines de mètres du périmètre très sécurisé du Conseil européen, où les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE tenaient un sommet consacré à l’Ukraine, en marge duquel cette question agricole s’est forcément invitée. Normes, libre-échange, revenu paysan... À notre micro, des agriculteurs de différents pays nous expliquent pourquoi l’Europe ne répond plus à leurs attentes, voire complique leur métier au quotidien.

#europe #agriculture #manifestation
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7 Vues · 11 mois (mise à jour)

C’est un événement judiciaire inédit. Depuis le début de la Ve République, c’est la première fois que s’ouvre le procès d’un ministre en exercice. Le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti est jugé à partir de ce lundi par la Cour de justice de la République, la seule instance habilitée à juger des membres du gouvernement.
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1 Vues · 12 mois (mise à jour)

POLITIQUE - Les rires de trop ? Plusieurs élus issus de la gauche se sont émus, ce samedi 21 octobre, de la réaction amusée voire franchement hilare de membres du gouvernement et de la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet au moment de l’intervention, la veille, du député GDR de Polynésie française, Tematai Le Gayic.

Dans une séance consacrée le 20 octobre au vote des motions de censure déposée en réaction au 49.3 sur le premier volet du budget 2024, l’élu âgé de seulement 23 ans, est revenu sur l’histoire et l’usage de ces outils constitutionnels. « Vous êtes dans votre droit d’utiliser le 49.3 et le Parlement est dans son droit d’utiliser la motion de censure », déclare-t-il, invoquant Michel Debré. Néanmoins, poursuit-il, « c’est assez cocasse. Parce que vous n’avez pas la majorité pour faire passer un texte donc vous êtes obligés d’utiliser le 49.3 (...) mais on n’arrive pas non plus à avoir une majorité sur une motion de censure. Personne n’arrive à avoir de majorité », a lancé le député polynésien, orateur du groupe communiste.
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3 Vues · 1 an (mise à jour)

La crise de l’hôpital public provoquera-t-elle une révolte de la France rurale ? Le 22 avril, ils étaient 2000 manifestants dans la petite ville de Feurs (Loire). 6000 à Langres (Haute-Marne), le 23 septembre dernier. Une semaine plus tard, des centaines de personnes ont cette fois-ci manifesté devant la préfecture du Finistère à Quimper, pour dénoncer un accès limité aux urgences de l’hôpital de Carhaix depuis cet été.

Chaque fois, des manifestations importantes dans des villes de taille modeste pour dénoncer un accès aux soins qui se détériore, particulièrement hors des grands centres urbains. Dans le cas de Carhaix, ville de 7300 habitants, la population et les soignants regrettent que le service des urgences fonctionne dorénavant avec une régulation en soirée et pendant la nuit, entre 18H30 et 8H du matin, passant par un appel préalable des patients au 15.

Comme vous pouvez le voir dans notre reportage vidéo, Le Huffpost a suivi la mobilisation bretonne sur le terrain. À notre micro, les habitants de Carhaix expliquent pourquoi l’accès aux soins est devenu est devenu une préoccupation majeur dans leur commune, et plus globalement dans le centre de la Bretagne. D’abord dans une ambiance bon enfant, la manifestation a tourné court après des tensions entre manifestants et forces de l’ordre, ces derniers ripostant avec des gaz lacrymogènes.

#carhaix #bretagne #hôpital -----

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6 Vues · 1 an (mise à jour)

Mercredi 20 Septembre, les représentants des syndicats des enseignants - soutenus par les parlementaires de gauche - qui s’indignaient du ton moralisateur utilisé à leur endroit ont quitté une réunion à l'Assemblée nationale après les réquisitoires sévères du camp présidentiel ou du Rassemblement national.

#politique #assemblée #ecole
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4 Vues · 1 an (mise à jour)

En juin 1983, près de 2000 policiers se répandent dans Paris pour demander la démission du ministre de la Justice Robert Badinter. La réponse du président de la République ne se fait pas attendre.

POLITIQUE - C’est une situation qui en rappelle une autre, mais le dénouement est bien différent. La mise en détention provisoire d’un policier marseillais soupçonné de violences policières suscite une levée de boucliers d’une partie des policiers, soutenus par leur chef, Frédéric Veaux. Pour le directeur général de la police nationale, un policier n’a « pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des erreurs graves ».

Face à cette déclaration provocatrice et polémique, l’exécutif répond « nul n’est au-dessus des lois »… mais la réaction s’arrête là. Confronté à une fronde des policiers s’attaquant à l’institution judiciaire, le président de la République François Mitterrand, choisit, lui, la sévérité, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.

Le 3 juin 1983, dans la cour d’honneur de la préfecture de police de Paris, près de 1500 policiers sont venus rendre hommage à deux de leurs collègues, Émile Gondry et Claude Caiola tués par des cambrioleurs, membres du groupuscule d’extrême gauche Action directe, avenue Trudaine, quelques jours plus tôt.

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#police #mitterrand #fronde
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4 Vues · 1 an (mise à jour)

Cette ancienne de Microsoft et Apple a été nommée à un poste lié à la régulation des géants américains de la tech. Une fois n’est pas coutume, les eurodéputés français parlent d’une même voix pour s’y opposer.

POLITIQUE - Yannick Jadot est « scandalisé », Jordan Bardella somme Ursula von der Leyen de venir se justifier. Une fois n’est pas coutume, les deux eurodéputés sont d’accord entre eux et aussi avec leurs collègues de centre gauche, de droite, insoumis et macronistes. L’objet de cette indignation commune : la nomination de l’Américaine Fiona Scott Morton, à un poste clé de la Commission européenne lié à la régulation des géants américains de la tech.

Fiona Scott Morton, professeur d’économie à l’université de Yale, a été choisie comme nouvelle économiste en chef à la Direction générale de la concurrence. Ce service est chargé de veiller au bon fonctionnement de la concurrence dans l’UE et d’enquêter notamment sur les abus des géants du numérique qui ont donné lieu à des amendes records ces dernières années. Problème pour les représentants français : Fiona Scott Morton, ancienne de l’administration Obama, a aussi travaillé auparavant comme consultante chez Apple et Microsoft.

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#unioneuropéenne #gafam #concurrence
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6 Vues · 1 an (mise à jour)

Chacun à le droit à sa liberté d’expression, y compris les ministres, mais cela n’engage qu’eux. Lors du Conseil des ministres, Emmanuel Macron a abordé la récente sortie de Pap Ndiaye sur CNews, qualifiée de chaîne « d’extrême droite », au grand dam d’un certains. Le pésident de la République a soutenu le ministre, objet d’attaques virulentes depuis, tout en refusant de prendre position dans le débat.

En préambule du Conseil des ministre, le pésident de la République « a eu l’occasion de rappeler plusieurs libertés », a rapporté Olivier Véran à l’issue de la réunion : celle « de la presse, de la diversité d’opinion, mais aussi la liberté d’expression qui s’applique aussi pour les membres du gouvenement ».

« Quand on fait de la politique, on peut être amené à exprimer une opinion. On le fait avec parcimonie, avec attention, mais on est totalement libre de le faire. Le président a aussi rappelé que rien ne justifie de s’attaquer à un ministre, parfois même à sa famille », a poursuivi le porte-parole du gouvenement.


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#cnews #ndiaye #liberté
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4 Vues · 1 an (mise à jour)

Emmanuel Macron a promis mercredi d'agir "avec la plus grande détermination" en cas de "débordements" lors des festivités du 14 juillet, insistant, après plusieurs jours d'émeutes en France fin juin, sur le fait que "l'ordre républicain" devait être "respecté partout".

"Le calme est une condition à tout et le respect de l'ordre républicain, que j'avais d'ailleurs réaffirmé très clairement il y a une centaine de jours, doit être respecté partout. C'est pourquoi s'il y avait quelque débordement, nous interviendrons avec la plus grande détermination pour que l'ensemble de nos concitoyens puisse vivre dans le calme", a répondu le chef de l’État lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet de l'Otan à Vilnius.


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#14juillet #macron #emeutes

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6 Vues · 1 an (mise à jour)

Gérald Darmanin et Sandrine Rousseau se sont opposés dans l’hémicycle à coups d’énumération. Gérald Darmanin a été interrogé lors des questions au gouvernement de ce 11 juillet sur la présence d’élus de la Nupes à la marche parisienne pour Adama Traoré interdite par la préfecture.
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5 Vues · 1 an (mise à jour)

Pap Ndiaye ne retire pas un mot de ses propos sur CNews et Europe 1. Lors des questions au gouvernement ce mardi 11 juillet, le ministre de l’Éducation nationale a assumé ses déclarations sur ces deux médias propriétés de Vincent Bolloré en dépit de la bronca de la droite, l’extrême droite et des rédactions visées.

Dimanche sur Radio J, alors que les critiques de la mainmise de Vincent Bolloré sur les médias qui lui appartiennent s’intensifient, Pap Ndiaye a estimé que « quand vous regardez CNews, quand vous regardez ce qu’est devenue Europe 1, (...) la conclusion s’impose : oui, CNews c’est très clairement d’extrême droite ».

Tollé à la droite de l’échiquier politique, déjà vent debout contre le ministre depuis son entrée au gouvernement. Dans l’hémicycle, le député LR Philippe Gosselin a ainsi opposé la discrétion de Pap Ndiaye et son manque d’incarnation politique sur les sujets de son ministère et cette sortie
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4 Vues · 1 an (mise à jour)

Auditionné sur la gestion des émeutes qui ont suivi la mort de Nahel, le ministre de l'Intérieur a été interrogé sur la formation dans la police et la gendarmerie.

POLICE - Les policiers ont été heurtés. Quelques jours après son audition au Sénat, le 5 juillet dernier, sur la gestion par les forces de l’ordre des violences qui ont suivi la mort de Nahel, le jeune homme tué par un policier à Nanterre, Gérald Darmanin se retrouve sous le feu des critiques. En cause : des propos sur la formation au sein de la police et de la gendarmerie que les intéressés ont du mal à digérer.

Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article, au cours de cette fameuse audition, le ministre de l’Intérieur a notamment été interrogé sur la formation des policiers. La sénatrice socialiste Marie-Pierre de la Gontrie, a évoqué à cet égard la tenue de seulement trois tirs d’entraînement annuels, une fois que les fonctionnaires ont été formés en école de police. Ce à quoi Gérald Darmanin a répondu en évoquant le bagage universitaire des candidats.


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#police #darmanin #polémique -----

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6 Vues · 1 an (mise à jour)

La commission d’enquête du Sénat estime que « le manque de rigueur, l’opacité et la désinvolture » des acteurs du dossier ont conduit au « fiasco

POLITIQUE - Les mots sont rudes. Les sénateurs Claude Raynal (PS) et Jean−François Husson (LR) ont présenté ce jeudi 6 juillet le rapport de la commission d’enquête sur l’utilisation du fonds Marianne, une enveloppe de 2,5 millions d’euros débloquée par Marlène Schiappa en avril 2021, après la mort de Samuel Paty pour lutter contre les discours radicaux.

Résultat : « un fiasco », selon les mots employés par les parlementaires en conférence de presse et dans leur rapport d’une grosse centaine de pages. « Le manque de rigueur, l’opacité et la désinvolture à toutes les étapes de ce projet ont conduit au fiasco », a notamment cinglé le rapporteur Jean−François Husson en présentant son « constat sans appel sur la dérive de ce que nous appelons “un coup politique” ».

« Nous avons le sentiment que le fonds Marianne a été conçu comme une grande opération de communication » par la ministre, a encore résumé le sénateur, sans épargner le rôle de Marlène Schiappa, alors ministre déléguée à la Citoyenneté, ses « confusions » et son manque de rigueur.

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#fondsmarianne #schiappa #samuelpaty

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